Un fois de plus, ce blog va vous présenter un encart assez complet qui circule sur internet. La thématique est «la justice».
Le titre suggestif (Quimper : un homme au tribunal pour une violente altercation dans un fast-food) condense tout le post.
Présenté sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Il n’y a aucune raison de douter de la fiabilité de ces infos.
Publié le
Récit d’une journée de violence au tribunal de Quimper (Finistère), vendredi 3 mars 2023.
Un homme de 35 ans, d’origine tchétchène, se trouvait dans le box. Tout s’est passé le 26 février dernier à Quimper.
Le prévenu a d’abord fermement nié les menaces avec un couteau contre sa compagne, la fille et le frère de cette dernière.
« Un tissu de mensonges ? »
L’homme voulait 20 euros. « Votre conjointe raconte donc un tissu de mensonges ? Elle a aussi déclaré que vous étiez devenu fou depuis plusieurs mois », lui a rétorqué la présidente. « Ce n’est pas du tout la vérité », a assuré le prévenu.
Second épisode de violence : il a eu lieu vers 20h30, rue de Pont-l’Abbé, dans un fast-food.
Altercation et panique dans un restaurant
Le prévenu a vu son beau-frère débouler avec un marteau. Il a alors attrapé un couteau de cuisine. « J’ai juste voulu me défendre. »
Entre eux, il y a eu une violente altercation. Un des serveurs du restaurant a décrit que le prévenu était agité.
Son collègue a tenté de le désarmer mais a été blessé à une main. « Il y a eu un mouvement de panique dans le restaurant », a précisé la présidente.
Les clients se sont échappés par la porte de derrière.
Sur ces faits, la défense a plaidé la relaxe en estimant que c’était de « la légitime défense » : « Aucun serveur ni client n’a pris la peine de porter plainte ni de consulter un médecin. »
Casier vierge
La compagne du prévenu, choquée, s’est vue prescrire huit jours d’incapacité totale de travail. Elle a cependant retiré sa plainte ; son frère, aussi. « Selon vos proches, on a l’impression que vous vivez dans un monde parallèle. »
L’intéressé a reconnu avoir fumé du cannabis par le passé. Bu « un peu d’alcool ». Son casier est vierge.
Huit jours avant, il a fait une garde à vue pour avoir crié allah akbar dans la rue. Ce qui n’a pas donné lieu à des poursuites. Mais à cette occasion, la préfecture lui a notifié son obligation de quitter le territoire.
Il avait requis un maintien en détention pour trois mois, et trois autres mois avec un sursis probatoire. La défense s’est opposée à un retour en prison.
Elle a été entendue. Le trentenaire n’a été condamné que pour les violences conjugales, à six mois de prison avec un sursis probatoire.
Il a interdiction de contact avec la victime et devra payer une amende de 200 euros.
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