En parcourant le web nous avons trouvé un papier qui va vous intéresser. Son sujet est « la justice ».
Le titre (Le sort du GFC Ajaccio entre les mains du tribunal de commerce) est parlant.
L’auteur (présenté sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur internet.
Il n’y a aucune raison de douter du sérieux de ces infos.
La date d’édition est 2022-12-17 23:01:00.
L’examen de la situation financière de la SAS permettra de vérifier si elle a la capacité de faire face à sa dette. Un redressement judiciaire de l’association semble souhaitable, pour éviter que l’existence même du club ne soit menacée.
Y a-t-il encore une chance de voir le GFCA s’extraire d’une crise, qui s’apparente à un véritable marasme, tant elle apparaît aujourd’hui inextricable vu l’état de déliquescence dans lequel se trouve le club ?
Vendredi, la situation a évolué dans le sens qu’on pouvait aisément imaginer à savoir que comme toute société en difficulté, c’est le tribunal de commerce qui examinera en début de semaine l’ampleur de ses difficultés financières et par là même, les chances qu’elle aura ou pas de poursuivre son activité.
Redressement judiciaire ou liquidation, les conséquences ne seraient forcément pas les mêmes. Et si du côté de Mezzavia, on espère et croise les doigts pour obtenir un sursis, c’est d’abord et surtout le sort de l’association garante de l’entité GFCA qui préoccupe ceux qui tentent par tous les moyens, de sauver les meubles et d’éviter le pire.
Alors que le sort de l’équipe fanion en N3 reste étroitement lié à celui d’une SAS ne pouvant plus fonctionner suite à l’enquête judiciaire qui frappe le GFCA depuis octobre 2021, l’avenir du club et de ses 330 licenciés demeure lui aussi en suspens et là encore, soumis à un examen minutieux d’une situation comptable à clarifier.
Sursis et espoir
» Seule une mise en redressement judiciaire (dettes gelées ou étalées) permettrait au milieu associatif de repartir avec une page blanche. Sinon, le pire est à redouter « , indiquait hier Robert Bonardi, responsable sportif, sachant qu’une mauvaise surprise n’est malheureusement pas à écarter par effet boomerang, en ce qui concerne les dettes.
Partant de là, tout est encore à craindre d’autant que les conditions que des repreneurs se manifestent ne sont pas réunies.
Il faudra donc à l’heure des comptes voir le cas échéant, quelles sont les solutions pour les épurer et s’il y a surtout une possibilité de le faire.
La mobilisation des vrais amoureux du club (Amicale des Anciens et Socios notamment) peut, dans un premier temps, ouvrir la voie à une poursuite de l’activité. Le soutien manifesté jeudi par la municipalité est pareillement de nature à maintenir pour le Gaz cette lueur d’espoir. D’autant que la Collectivité de Corse ne saurait rester longtemps insensible au risque de voir, après le CAB, une autre institution du football corse disparaître.
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